Página:Capitulos de historia colonial (1934).djvu/258

242
Annotações

dâo, da armada que dahi a dous metes se ha de fazer para Malabar — C. Lobo. Memorias de um soldado da India 16|17.


(No exemplar de Adriano de Abreu)

CAP. VIII

(Guerras flamengas)

La flotte marchande s’adonnait surtout au trafic entre les pays baignés par la mer Baltique, specialement le port de Dantzig, d’une part, et de la France, l’Espagne et le Portugal d’autre part. Dans les pays baltiques elle échangait contre du blé, du bois, des matières textiles et des metaux, ses cargaisons de sel, d’épices et de produits alimentaires de l’industrie hollandaise.

Elle portait en Espagne et en Portugal les blés des pays baltiques et les bois de la Norvège, ainsi que des denrées alimentaires hollandaises (fromages et harengs), et y prenait en échange du sel, de l’huile, des laines, du vin, des fruits et des épices. (Ch. de Launnay et Von der Linden, Hist. de l’exp. colon. 2° 5|6).