DOM JOAO VI XO BRAZIL 335
A nota de 30 de Abril de 1810, do cavalheiro de Souza Coutinho ao marquez de Wellesley, mfnistro dos Negocios Estrangeiros da Gra Bretanha, assim collocava o problema da candidatura : L accord intime des Portugais et des Espagnols avec la Grande Bretagne est indispensable ail succes de cette grande cause, qui promet a la Pe- ninsule le rare privilege d etre, d 1 avenir, la seule partie du Continent exemte de la Tyrannie franchise, et il semble que cet accord ne pourrait gueres etre plus solidement main- tenu que lorsque 1 on verrait a la tete c!e la Regence d Es- pagne une Princesse qui, d ses Droits eventuels de succession au Throne d Eapagne, joint les avantages d avoir etc ele- vee en Portugal et d avoir acquis d 1 ecole de Son Auguste Epoux, les moyens de cherir et d apprecier 1 alliance de la Grande Bretagne ; une Princesse qui se trouverait, par con sequent, depouillee de tous ces anciens prejuges contraires au Commerce, reciproquement avantageux, des sujets britanni- ques avec les differentes parties de la Monarchic Espagnole, dont une Politique, retrecie dans ses calculs parait avoir etonnamment retarde 1 Etablissement" (i).
Nao deixava a nota de encarar, como o devia fazer por tratar-se do maior obstaculo talvez, pelo lado castelhano, a realizagao das pretencjks de governo da Princeza do Brazil, a hypothese da reuniao no future das duas coroas peninsu- lares sobre uma so cabega. D. Domingcs abordava n estes termos a difficuldade: "II semble qu il ne serait pas diffi cile de prevoir le cas possible de la reunion des deux Mo narchies en une seule tete, et de regler d avance ce qui con- viendrait pour fixer la succession aux deux Thrones de
��(1) Arch, do Min. das Rel. Ext., Corresp. da Leg. de Londres, Ostensivos e Coitfidenciaes, 1810.
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