DOM JOlo VI NO BRAZIL 857
muns as recriminagoes contra o modo por que a chancella- ria do Rio tratava os diplomatas estrangeiros. ( I )
Nas ulteriores informagoes que prestou ao seu governo, censurou asperamente o agente francez a dernora soffrfda por Balk-Poleff em plena rua no dia da entrega da creden- cial, e quanto a resposta de Barca ao protesto a tal respeito, achava injustos os qualificativos empregados pelo Ministro, quer applicados ao caso, quer considerados em geral. (2)
��(1) "Voici, iM on seigneur, dans quel sens j ay cru devoir re- pondre. !La conduite de Mr. Balk avait ete irreguLiere, et Ini avait at lir. de* scenes desagreables, cependant la ICour du .Portugal ayant paru avoir oublie le passe, le recoit, on sia nouyelle iqualite d Ambassa- deur : qu il ait on non rais-nn ,de protester contra le .jour et la maniere dont il a ete ree,u, le style de cette piece est noble et convenable, je n hesite pas a 1 avouer ot a applaudir anx senti-menx qn il a ma- nifeste alors, car il a obei pour plaire a S. M. V. I- 1 ct il proteste aprrs aveo dignilt ])oiir conserver intactes les usages et les dis tinctions attachees a ce haut caractere
Le Ministi-e des I a.vs I .as et le charge d Al l aires d Espagnc ont donix- leurs repojises Idles (|iie Mr. Balk a urn it pu les clesircr ; il est egalement tre.s satistait d<^ celle du charge d AiTaires d Aa gleterre, au reste j ay la celle ci et la tnuve asse/ adroito. J.e Mi nistre des Etats Unis n a point encore ivpondu inais d apres ce ([ii il m a dit sur les jiieces de ce demele, j<> suis 1 onde a croiiv qu il ajipnyera Mr. Balk
Mr. Balk a. de 1 esprit rnais il manque de bon sens et <>n resume le Corps Diplomatique dans ce pays ne pent etre satisfait ile la maniere dont il est traite et l>eaucoup moins de la difficulte! i.iie nous epro iivons a recevair des reponsi S aux demaiudes les plus justes et qui devraient reclamer quelquo activite de la part du Mi- jiislere. lii(lividii(>lleinent si je n ay pas a me louer sous ce rapport. j ay j)eiit etre moins a me plaindre que nies collegues ; le chai-ge d Al faires d Angleterre me disait il y a tn-s pen de jours que son GouYernement trouverait s il pouvait le desirer assez de griefs pour d edarer la guerre ; p-.mt etre. IMonseigueur, oet etat des choses jiarticipe un pen de la composition presente du Ministere, niais je erois pouvoir encore rapi)elliM- ce que j ay donne a entendre il ya longtennps, et c est que la politique de cette Cour etait peu analogue a ses forces, a s:i puissance reelle et a sa position." (Officio de 22 de Maio de 1S1T).
(2) Sobre o dc>i<-<ito as reflexoes de Maler sao bastante ju- diciosas : "Je respecto trop cordialement, trop scrupuleusement lea R ois legitimes 1 , je me fa is trop naturelLement un devoir de rendre liommage a la bonte personnelle de S. M. le RoL de Portugal, pour avoir le inoindre doute pour me perrnettre la plus legere hesitation sur 1 incartade dent il se plaint;... Cependant, comme S. M. ne
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